Admire la pleine lune.

Coucher sur un rocher au millieu d'un lac, un jeune Amphiptère admirait la pleine lune. Pour lui, rien ne pouvait étre agréable à la fin d'une journée. Sous les rayon de la lune, on pouvait voir son corp bleu azur à rayures blanche, sa créte de plumes oranges et ses ailes repliés aux longues plumes vertes qui se balancé de temps à autres sous une brise. Ses simboles, qui représentaient chacun un élément chinois, étaient de couleur noir encre et ce voyaient mal dans la nuit.
Cerip avait élut domicile dans la jungle depuis son arriver à Wild Dragon. Il aimait cet endroit naturel et sauvage, qui le raproché au plus hot poin de son élément : la nature.
Il commenssa à se sentir epuisé. Il bailla et posa sa tête sur ses pattes avant, fermant ses yeux verts émeraudes, se préparent à dormir, ne faisant pas atention aux bruits autour de lui, penssant que c'était les bruits habituel de sa jungle.

Cerip ne dormait pas totalement quand il eu l'impression que quelques chose cacha un instant les rayons de la lune, suivit du sifflement léger de deux puissantes ailes fendant le vents. Au début, il n'y fit pas atention, mais se posa tout même quelque questions : pour qu'un animal puisse lui caché totalement la lune, il falait qu'il soit bien plus gros que les oiseaux que Cerip avait l'habitude de rencontré dans la jungle.
Il ouvrit légérement les yeux et vit que l'animal en question c'était posé non loin de lui. C'était une dragonne occidentale aparament, mais Cerip fut étonné par ses écailles bleus claires, comme celle des dragons des glaces.
Elle était en trin de grillé quelque chose, que Cerip réussit à distingué malgré la nuit : c'était un tapir. Il soupira interrieurement : il avait horreur que l'on tue les animaux, même pour ce nourire. Il avait l'habitude, comme tout ses congénaires, de manger des animaux déjà mort et des fruits. Mais il n'intervint pas : Chacun sa façon de se nourire, il le savait bien.
Il se recoucha mais garda un oeuil ouvert : Il ne la connaissait pas, et rien ne lui disé qu'elle ne soit pas du coté du mal. Si il sentait en elle le moindre signe de violence envers sa jungle, il interviendrait, plus protecteur envers elle qu'envers lui même.